Retour au blog de inconnue-de-passage
. . . . Ce soir, je vends mon âme au diable puis qu'il ne me reste plus que cela pour me rappeler tout le vide que t'as laissé. Mon corps usé, parcouru par tant de mains salis ne sait même plus à qu'il doit ressembler. De toute façon, entre la salope et la putain, tout n'est qu'une question de pognon. Et l'argent, je n'en ai que faire, puis que le bonheur ne se trouve plus en magasin. Paraît que ce n'est ni la faute des soldes, ni le capitalisme, ni la surconsommation, paraît juste qu'ils...
petiteprincesseuh, Posté le jeudi 25 septembre 2008 11:34
très joli image
semeuse-de-doutes, Posté le samedi 20 septembre 2008 13:03
Moi aussi j'aime les pontons où aucun bateau jamais n'accoste, où on n'a d'autre solution que de se jeter à l'eau;)
A moi aussi on a fait croire qu'il n'y avait pas d'autre rôle à jouer que s...ou P;;;;
gOurmandiiiiZz, Posté le mardi 15 juillet 2008 08:44
J'aime ton texte.
Jcrois que tous les rayons d'espoir se vident à un moment où à un autre avant de se remplir de nouveau. Parce que la vie n'est qu'un cercle virtueux de l'espoir. On espère, on cesse d'espèrer puis on espère de nouveau, c'est le propre de l'homme.
parfaite-desinvolture, Posté le samedi 11 juillet 2009 09:21
J'aime énormément ton blog.
Je n'ai pas le temps de tout lire, je reviendrai.
Bonne continuation. M.